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DON'T PANIC, BECAUSE I'M HERE !

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Dim 30 Aoû - 20:04

Nom Prénom

Groupe

DON'T PANIC, BECAUSE I'M HERE ! 22686710
Nom ; Sonohara
Prénom ; Sumi
Age ; 18 ans, 13 juillet
Filière ; Héroïque, lycée U.A, 3-A.
Nom de code ; Don't Panic
Alter ; Inkholism

Description alter ; Entre la création et la transformation, Ink à Brac est alter qui demande avant tout un apport extérieur. En effet, pour déclencher son alter, Sumi doit impérativement concentré de l'encre. Une fois l'encre consommée, la jeune femme est en mesure de créer des formes à partir de son corps. Forme dont la solidité vont dépendre des conditions physique de l'utilisatrice.

Sumi utilise essentiellement son alter pour créer des boucliers et autres forme destiné à la protection, elle a sacrifié la malléabilité de son alter au profit de la solidité.
Il est également important de noter que si elle consomme trop d'encre, ce dernier agit sur elle comme de l'alcool.

Caractère ;
Rapport d'aptitude de l'élève Sumi « Don't Panic » Sonohara à la suite des activités exercées au sein de l'Agence de Yokohama, « Scare & Co ».
Auteur : Yukishiro « Scarecrow » Nagaï.


« Chers Directeur de l'U.A, professeur titulaire de la terminale A et référent de l'élève Sonohara,

Je vous prierais d'excuser ma stylistique, je ne suis pas très bon en communication. Je suis Scarecrow, le héros en charge de l'agence Scare & Co dans laquelle Sonohara Sumi, votre élève, à passé les deux mois de juillet et d’août, en tant qu'héroïnes intérimaire (Ou suppléante ? Désolé, je ne suis pas très au fait de ces termes).
J'avais déjà eu l'occasion de rencontrer la jeune Sonohara durant d'autres échanges élève/agence, durant sa deuxième année d'étude héroïque. Bien que notre agence dispose d'effectif réduit, la jeune Sonohara a mis un certain temps à s'intégrer. J'ai pu noter au début de son aventure chez nous, ce que j'avais d'abord pris de la mollesse et de la paresse. Au fil des semaines passé avec elle, j'ai compris qu'il s'agissait-là plus de timidité que d'un réel désintérêt pour la cause héroïque. L'on pourrait certes dire qu'elle est un peu paresseuse, néanmoins, elle a montré savoir surmonter ce trait de personnalité dans les situations qui le demandait. Elle m'a donné l'impression de toujours s'économiser et ne donner le maximum de ces capacités qu'en des occasions données, ce que j'imagine vous avez déjà pu remarquer en constatant la différence de notation entre ses examens finaux et les évaluations quotidiennes. J'ai le sentiment qu'elle vit sa vie au rythme qui lui plaît, c'est une jeune fille qui me semble, pardonnez-moi l'expression, « un peu à l'ouest », parfois.
Néanmoins, elle ne manque pas de motivation et de persévérance, son flegme qui pourrait passer pour de la mollesse cache en réalité une capacité d'analyse indispensable à la profession de héros et une remise en question permanente. Le tout est couplé à une volonté de ne pas se laisser abattre. Elle accepte l'échec pour lui permettre d'avancer et d'apprendre toujours plus. Elle a également montré un grand professionnalisme lors des activités héroïques sur le terrain. Son alter et l'utilisation qu'elle en fait en disent long sur le genre d'héroïne qu'elle aspire à devenir ; un rempart qui mettra sa vie en jeu pour sauver celle des autres. J'ai remarqué qu'elle avait à cœur le bien-être et la protection des civils, ce qui pourrait nuire à la collaboration avec ses collègues héros. « Don't Panic » semble être davantage encline à limiter les pertes civiles qu'à assurer la réussite d'une opération. Enfin, la jeune Sonohara n'est pas vraiment intéressée pour être sur le devant de la scène héroïque, elle n'a pas manifesté l'envie d'avoir sa propre agence, elle m'a confié préférer être « une héroïne permettant aux autres de briller », enfin, elle a embelli au fur et à mesure de la conversation au début, c'était plutôt « une héroïne planquée derrière son bouclier, pépère », là encore, je ne fais que citer ses mots. Je ne sais si cela vient d'un manque de confiance en elle ou de réelle convictions... À noter qu'elle n'est cependant pas opposée aux opérations commerciales ou au concept de sponsor...
En dehors de ses activités de héros, s'il est difficile de savoir ce qu'elle pense derrière une forme d'impassibilité et d'une inattention sur ce qu'il passe autour d'elle, ce qui rend l'ouverture aux autres compliquée de prime abord, une fois que c'est fait, elle n'hésite pas à partager ses passions et se montrer curieuse de celles des autres. Elle a par exemple apporté un grand intérêt à l'apprentissage de la langue des signes pour faciliter la conversation entre nous – je suis muet. Qui plus est, son hobby principal ; l'haltérophilie s'est totalement implémenté à sa façon d'utiliser son alter. C'est un point qui me semble important, car il montre un certain intérêt pour les valeurs héroïques qu'elle porte en elle.
En résumé ; je dirais que Sumi est une jeune femme bienveillante, qui quoique difficilement accessible, dans la lune qui semble parfaitement déconnecté de la réalité, sait se montrer à l'écoute de tous. Elle est une héroïne qui a cœur le bien-être de chaque personne.

PS : Cela dit, il faudrait peut-être travailler sur son avarice, elle m'a très vite demandé à combien s’élèverait son salaire et s'est rapidement renseignée pour optimiser le montant idéal qui pourrait lui être confié. Ce qui montre qu'elle est parfaitement capable de se consacrer corps et âme à une activité, si tant est qu'elle soit intéressée.
PS2 : Je vous joins également la note de frais excédentaires lié au logis. Comprenez que nous somme une petite agence et que je m'en voudrais de restreindre l’appétit d'une jeune fille en pleine croissance.
PS3 : Je souhaiterais à terme proposait un contrat d'embauche à votre élève et lui enseigner les quelques préceptes héroïques qui me sont chers.
PS4 : Il serait intéressant de lui faire suivre des cours de communication sur l'image héroïque. Ne serait-ce que pour lui faire comprendre que ses blagues ne sont pas une bonne idée pour augmenter sa popularité.

Mes amitiés,
En vous souhaitant une bonne journée et soirée
Encore désolé pour les approximations et la stylistique de mon rapport
Yukishiro « Scarecrow » Nagaï. »

Taille ; 1m68 / Corpulence ; 65 kilos, Sumi est une haltérophile doté d'un léger embonpoint. Ce qui élève son IMC légèrement au-dessus de la moyenne / Cheveux ; Noir / Autres ; La peau de Sumi est très pâle et marque assez facilement. Elle a de multiples grains de beauté représentant les vingt-six lettres de l'alphabet latin, ainsi que les différents katakanas et hiraganas.

Histoire ; D'aussi loin que je me souvienne, ma mère me racontait souvent des histoires de héros. Et c'est toujours, ces héros de l'ombre qui s'efforçaient que tout aille bien, que je préférais. Là où tout le monde avait des posters, des cartes et autre goodies d'All Might, j'en avais de FatGum, Number 13, et j'en avais quelques-uns d'Erasherhead, même si à l'époque y avait pas grand chose sur lui, une rumeur courait que c'était un ancien membre de boys band sur le déclin qui s'était reconverti en héros faute de mieux... Enfin bref, j'adorais ces moments où ma mère me racontait ces histoires, et ça la faisait toujours rire de m'entendre lui demander plus de précisions sur ces héros-là. Ceux de l'ombre.

Avec mes parents, on vivait en campagne à Kakamigahara, c'était un cadre agréable, et finalement, outre le fait qu'on avait tous des alters ; Tokyo, l'U.A, les vilains, les héros, c'était un peu comme un autre monde. Pourtant, on grandissait tous en se disant qu'un jour, on serait des super-héros. Et évidemment, on y jouait. Déjà, à l'époque, j'étais une petite boule, mais quand ton héros favori, c'est FatGum, bah, tu kiffes tes grosses joues. En plus, j'ai grandi avec le meilleur pâtissier du monde ; mon père. Kyoheï Sonohara, c'était une légende dans mon patelin ! Les meilleurs p'tit pains, c'était lui.

D'ailleurs, pour l'anecdote, quand j'ai découvert mon alter, mes mains ont suintées de l'encre, du coup avec mes yeux d'enfants, ma peau venait d'exploser quoi ! L'encre, c'était mon sang, j'étais paniquée. Et il se trouve que ce jour-là, j'aidais mon pater à faire des cookies, enfin, il me laissait malaxer la pâte. J'étais allé le voir en pleurs en disant « Pôpaaaa, mes mains, elles ont explosé dans les cooooookie, bweuheuheu. » Il avait eu super peur au début, c'est un stressé mon père.

Il m'a emmené direct chez le médecin pour faire toute une batterie de test, parce que ce qu'il faut savoir, c'est que je tirais mon alter de celui de mon daron. Sauf que lui, l'encre, il n'avait pas besoin de l'ingérer, c'était son propre sang. Ironie, j'sais, j'peux vampiriser mon père, ouais, super, tout le monde y a pensé avant toi.

Bref, s'il était angoissé, c'était parce que ça lui causait toute une montagne de problèmes. Et il voulait pas de ça pour sa fille, normale. Mais non, moi, ça allait. Le médecin a vite compris que je devais consommer l'encre pour utiliser mon alter, vu que ça avait créé une carence ou j'sais pas quoi. On est rentré, en même temps que ma mère, qui bossait dans l'hôpital d'une ville voisine. Elle a été toute contente. Et je crois que c'est un de mes souvenirs préférés. Elle avait l'air super fatigué – comme d'hab – mais c'était tellement chou de la voir aussi heureuse malgré la fatigue.

Du coup, on a mangé mon plat préféré le soir, c'était super. Avec un max de p'tits pains.

Autre anecdote à propos de mon alter, à l'école, on avait des cours d'initiations, pour nous apprendre à avoir un contrôle sommaire, histoire de pas se blesser. Genre, y avait un gars qui se transformait en verre qui s'était écorché le front ! C'est lors d'un de ces cours que j'ai découvert que quand je buvais trop d'encre, j'étais saoul. Au début, personne a compris, tout le monde à traiter mes parents de tous les noms, en disant que j'avais trouvé de l'alcool chez nous et tout... Un vrai délire. Mais en fait, ça allait. Enfin presque.

À l'école, je m'entendais super bien avec mon cousin, Hiroko, il avait un alter d'encre aussi. Il pouvait le manipuler. Des fois, quand mon oncle était de bonnes humeurs, il nous emmenait manger des spaghettis à l'encre de seiche, évidemment, il surveillait ma consommation d'encre. Avec Hiroko, on s'éclatait à faire n'importe quoi avec l'encre. En revanche, depuis le moment de ma cuite à l'encre à l'école, c'est devenu pas mal tabou l'utilisation de mon alter à la maison.

Et en grandissant, les enfants, ça devient méchants. T'as vu, j'fais des rimes, MC Panik in da place. Ahem. Reprenons.

J'résume ; gamine un peu enrobée, fan du héros IMC, vomi partout dans la salle de classe parce qu'elle boit de l'encre : harcèlement scolaire.

Et pour rien arrangé, c'est les parents de mes camarades qui s'y sont mis. Ma mère bossait en milieu hospitalier, comme on avait peu d'argent, elle faisait beaucoup d'heure. Elle refusait que mon père se sépare de son affaire qui faut le dire, marchait bien, mais pas assez. Sauf, que pour supporter le tout, elle s'était mis à boire un petit verre après le travail, puis un autre. Finalement, elle a fait un burn-out. Les gens ont direct dit qu'elle était une alcoolique et cette histoire de cuite à l'encre et ressortie. Comme quoi, je tenais ce contrecoup de ma mère, tout ça. Pour assurer les frais d'hôpitaux, toxicologie, mon père à lâcher sa boulangerie et s'est mis à bosser en usine. Donc climat très tendu dans la maison Sonohara.

Je rentrais à peine au collège que j'étais déjà super triste, tout ce qui me réconfortait, c'étaient mes héros préférés. Avec eux, j'oubliais les moqueries et le fait que je me sentais super mal dans mon corps. Jusqu'à ce que je rencontre à un autre type de héros. Y avait un bonhomme, un jour, qu'est rentré au village. Tokuro Oguma, c'était limite un héros pour tout les voisins. Pourquoi ? C'était un sumo. À cause de lui, notre village passait à la télé, on en parlait partout. J'étais un peu outré. On insultés mes bourrelets et on adulait les siens. Dans le même temps, j'avais découvert le terrible secret de FatGum... IL POUVAIT MAIGRIR. Une interview était ensuite apparue, dans une magazine un peu people... Mais dans toutes les conneries que les journalistes balançaient, Fatgum avait balancé une de ses banalités du genre « Notre alter fait partie d'un tout, ça sert à rien de le perfectionner, si on perfectionne pas le reste ».

J'ai eu un déclic. J'avais remarqué que j'avais plus de possibilités avec les parties de mon corps les plus musclée ou charnue. Grâce à Tokuro, y avait une myriade d'activités sportives qui étaient apparues dans les activités des collèges de la ville. Dont l'haltérophilie. Ça m'a paru tellement évident. Je me suis dit que c'était un moyen d'assumer mon corps sans le changer totalement. Ouais, je lisais pas mal de truc sur l'acceptation de soi, la commu des fans de FatGum était assez porté sur la chose.

Donc, j'ai commencé l'haltérophilie, d'abord avec le collège, gratuitement. Hiroko a commencé à s'improviser coach, c'était rigolo. Et surtout, ça me permettait de penser à autre chose que tout ce qui arrivait autour de moi. Quand je soulevais des poids et que je parlais de muscles avec mon cousin, j'avais l'impression de redevenir un petite fille normale. Je me suis rapidement liée d'amitiés avec des filles du club, et quelques garçons. C'est plus facile de se faire des amis, quand tu les vois faire une tête de constiper en soulevant un haltère qui pèse trois fois eux. À la fin de l'année, notre club avait plu à notre héros régional qui s'était mis à subventionner le club.

La vie continua de se faire, mes parents savaient que je faisais de l'haltérophilie, que ça m'éclatait. Mon oncle et Hiroko me coachaient toujours plus, et finalement la blague arrêta d'être une blague ; notre club était sélectionné pour une compète nationale. J'allais entrer au lycée l'année prochaine. Ma mère allait mieux et mon père continuait de travailler à l'usine donc financièrement, on s'en sortait, du coup quand je leur ait dit que je voulais aller plus loin, ils m'ont soutenu à fond.

Ils ont participé à payer les voyages, les logements, et au fur et à mesure notre club gagnait de plus en plus de compétition. Tokuro Oguma ne regretta pas de s'être intéressé à nous, si bien qu'il finit par nous coacher pour la dernière épreuve du concours. Et au terme de cette épreuve, les gagnants recevraient une grosse bourse pour leur prochaine année scolaire.

Et soudain, je réalisais que le rêve inaccessible d'être un jour héroïne, devenait un peu plus accessible.

Ainsi, j'ai commençais à m'entraîner, à suivre des régimes super stricte pour prendre suffisamment de muscle et être au max de ma condition physique – sans niquer ma santé. Et le jour de la compétition, devant mes parents, mes amis, je soulevais avec toute la force de mes bras la barre, mon visage vira au rouge, se mit à dégouliner de sueur, se contracta d'effort.

Mais quand les poids de la barre tintèrent contre, grâce à tous ces efforts, j'avais fait gagner notre équipe. Mes frais de scolarité seraient payés. Le lendemain, mes parents et moi, on faisait mon inscription à UA.

Quelques mois plus tard, je passais l'examen d'entrée. En prévision, mes parents avaient utilisé nos économies pour me payer des cours privés sur l'utilisation d'alter, c'était essentiellement de la théorie, mais je m'entraînais dans mon coin. J'arrivais à me faire un petit bouclier et créer une espèce de tentacule au niveau de mon ventre.

Finalement, je passais l'examen d'entrée, en l'ayant tout juste, mes deux scores se compensaient bien. Mais, on s'en fiche, parce que j'entrais à U.A !! Ainsi, le soir, je me suis fait gaver de petits pains par mon pater. Et quelques mois plus tard, je rentrais à U.A. Bon, qu'on soit d'accord, j'avais jamais été une élève très studieuse. Mais, j'ai dû l'être là-bas pour conserver ma moyenne moyenne – t'as saisi la blague ? -. Néanmoins, tout ce temps passé à entraîner mon corps, c'est ce qui me sauva. J'assurais grave dans toutes les activités physiques.

J'étais en train de réaliser un rêve de gosse. Je vivais vraiment un rêve éveillé. Jusqu'à ce que mon père soit blessé. Par un héros.

Mes parents étaient venus me rendre visite à Tokyo – ouais, je vivais dans un internat près de l'école, car y en avait pas encore à l'école à ce l'époque – pour mon dernier jour de classe. Sauf, que pendant le voyage, un vilain avait tenté de prendre le train en otage. En voulant défaire le vilain, les héros qui étaient sur place avaient dû intervenir en force, et mon père fit partit des dommages collatéraux.

Je le retrouvais à l'hôpital, un respirateur sur la gueule, dans le coma. Heureusement, il se réveilla, mais sa main était comme morte... C'était en lien avec son alter, vu que son sang était de l'encre, ça avait compliqué les choses. C'est à ce moment-là que je commençais à perdre foi en mon rêve. J'étais en colère, j'arrivais pas à me dire que les héros n'avait p'tet pas eu d'autre choix, que ça aurait pu être pire. Pour moi, ils avaient juste échoué.

Mes notes chutèrent, mais j'excellais toujours dans la pratique ; normal, je mettais toute ma négativité dans ces activités – j'ai pris cinq kilos pendant cette période et j'ai bouffé un claquage, yo. Du coup, mes professeurs me proposèrent de passer quelques semaines dans une agence – une fois mon claquage remis, pour tenter de rattraper mes notes théoriques qui chutaient. Le fait que ça puisse déboucher sur une embauche plus longue avec un salaire, ça m'a motivé – j'ai toujours kiffé l'argent. Ma mère avait dû reprendre les gardes de nuit pour les frais d’hôpitaux de mon père, et les frais de l’école n'étaient plus assurés, fallait que je les aide.

J'ai donc découvert l'agence de Scarecrow, enfin, c'est eux qui m'ont découvert, mais voilà, façon de parler. Elle était composée d'une dizaine de personnes, étant donné qu'elle était à Yokohama et que prendre en charge les trajets allaient être trop cher pour l'agence, je devais dormir sur place. Sauf que sur place, ça voulait dire, CHEZ Scarecrow. Dans sa maison genre.

Mais avant, je pense que c'est important de se pencher sur le personnage. Il est doté d'un alter de mutation, qui fait de lui une créature fine, noirâtre, comme une espèce d'ombre ou de fantôme, genre quand il marche sur des parquets qui grince, bah ça grince pas, s'il porte pas un gilet fluorescent le soir, personne le voit. Et cette mutation le rend muet, également.

Tout ça, ça a rendu les choses un peu complexe, je devais toujours m'assurer qu'il ait une ardoise ou un truc dans le genre, pour lui parler et en plus, j'étais chez lui. Mais ce deuxième point s'est finalement transformé en avantage. Je me suis très vite bien entendu avec son conjoint Takeomi, qui était pâtissier. D'ailleurs, sa pâtisserie était jumelée aux bâtiments de l'agence. À chaque briefing, on avait des gâteaux, c'était ouf. Leur couple me rappelait un peu mes parents. Donc, lentement j'ai commencé à vraiment les apprécier, si bien qu'après mes missions à l'agence, j'apprenais la langue des signes. À force de voir Yukishiro – Scarecrow donc – et Takeomi se parler comme ça, j'avais voulu m'y mettre.

Mais surtout, Scarecrow était ce genre de héros de l'ombre que j'adorais admirer petite, un héros inconnu, qui œuvre en secret, à son échelle. C'était ce genre de héros que je voulais devenir.

De retour à U.A, j'étais à fond, j'ai bossé comme une dingue pour rattraper mes notes – tout en continuant de signer. Je suis rentrée en troisième année, avec une légère hausse de mes notes. J'ai profité de l'été pour retourner dans l'agence et j'ai envoyé tout l'argent que j'avais gagné à mes parents.

Ma vie ressemble de nouveau à quelque chose, même si l'évasion des deux vilains les plus terribles de ces dix dernières années va amener pas mal de bouleversement, cette fois, je serais là.

Je vais protéger les gens, coûte que coûte.

Yo ! J'étais sur l'ancien forum de Toga et Bakugo, où j'ai également rencontré Mido ! C'est d'ailleurs ce dernier qui m'a parlé de ce forum, et comme l'envie de rejouer Sumi me trotter dans la tête depuis un moment, j'ai sauté le pas, comme un teubé  DON'T PANIC, BECAUSE I'M HERE ! 109158151 Prenez soin de ma petite buveuse d'encre o7

DON'T PANIC, BECAUSE I'M HERE ! 83cm

Halloween
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Dim 30 Aoû - 20:18
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Lun 31 Aoû - 14:20
Ah, bah super. Merci camarade.

Je vais taguer ton casier è_é
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Lun 31 Aoû - 15:48

Tu es validé !

Amuse-toi bien sur le forum !

Bon retour parmi nous et j'espère que tu vas te plaire ici DON'T PANIC, BECAUSE I'M HERE ! 120358548 ! C'est avec plaisir que je valide la fiche de ton personnage. DON'T PANIC, BECAUSE I'M HERE ! 3181280409 DON'T PANIC, BECAUSE I'M HERE ! 3181280409

Tu peux maintenant aller recenser ton avatar et nom de code. N'oublie pas d'aller faire la fiche technique de ton Alter.

Tu peux aussi aller faire ta fiche lien et tes demandes de rps.

Amuse toi bien sur le forum Smile
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Lun 31 Aoû - 16:08
Merci beaucoup, je file faire tout ça !!
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